❦ Charlotte J. Hattaway ❦ MEMBRE ☀ Welcome here babe.
✐ crédits : (c) Psychozee ✐ messages : 70 ✐ date d'inscription : 27/12/2010 Age : 33
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| Sujet: CHARLOTTE ♠ what do you want from me? Lun 27 Déc - 2:21 | |
| INFORMATIONS FEAT KRISTEN BELL
now i know i messed up bad, you were the best I ever had, i let you down in the worst way, it hurts me every single day, i'm dying to let you know THIS YOUR STORY NOM ✐ Hattaway PRÉNOMS ✐ Charlotte Jenna DATE DE NAISSANCE ✐ 25 septembre 1986 LIEU DE NAISSANCE ✐ New York, USA VILLE DE RÉSIDENCE ✐ Portland, Maine, USA AGE ✐ 24 ans PROFESSION ✐ Chef d'entreprise dans le textile STATUT SOCIAL ✐ Célibataire GROUPE ✐ Les honeybees | CHARLOTTE JENNA HATTAWAY
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| Je me présente, je m'appelle Airmising. Voilà 20 ans que je parcours le monde à la recherche de ma voie. C'est en flânant sur l'avenue de bazzart que je suis tombé sur Prends tes cliques et tes claques. D'ailleurs je le trouve magnifique. Mon dernier mot ? |
Dernière édition par Charlotte J. Hattaway le Lun 27 Déc - 2:57, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: CHARLOTTE ♠ what do you want from me? Lun 27 Déc - 2:22 | |
| IF WE WERE IN A MOVIE
20 décembre 2010.
« Mademoiselle Hattaway. » ; la voix du secrétaire du bureau où je me trouve me fait sursauter et je me redresse d’un bloc. J’observe les gens autour de moi. Je déteste qu’on sache qui je suis, surtout lorsque je viens ici. C’est l’idée de ma meilleure amie, Meghan. Elle trouve que je mets du temps à me remettre et, du coup, elle m’a organisé ces rendez-vous avec une psy. J’aime pas ça. Pourtant, je parle, comme si j’en avais besoin. Et je sais qu’aujourd’hui, ce sera reparti pour trente minutes où j’allais parler, pleurer et me lâcher.
J’entrais dans le bureau, et refermais la porte derrière moi. « Comment allez-vous aujourd’hui, Charlotte ? » ; je soupire à la voix de ma psychologue, et m’installe dans le fauteuil, face à elle. Non, je ne suis pas une psychanalyse… je parle, je la regarde, je discute. « J’en ai encore rêvé, cette nuit. » ; je baisse les yeux sur mes mains croisées. J’ai enfin retrouvé un semblant de vie normale, après dix mois. Dix longs mois où je n’avais fait qu’errer comme une âme en peine dans mon appartement, où j’avais pleuré, pleuré, encore et encore dans mon lit d’adolescente, où j’avais regretté de m’être autant attachée. « À quoi ressemblait ce rêve cette fois ? » ; je soupire une nouvelle fois, et passe une main manucurée dans mes longs cheveux blonds. Je suis fatiguée. J’ai mal dormi, j’ai beaucoup travaillé et beaucoup pleuré. Ca se voit, ça se sent. « Toujours le même genre. Je le vois dans notre lit, avec une femme au-dessus de lui. Une autre femme. Sauf que cette fois, c’était Meghan, ma meilleure amie. » ; j’ai honte de rêver de ça. Certes, mon ex fiancé m’a trompée, et ça me fait un mal de chien. Mais ce n’était pas avec ma meilleure amie, et je m’en voulais de la voir dans ce genre de position. Je m’en voulais d’avoir des envies de meurtre lorsque je me réveillais de ce long cauchemar qui me rendait complètement dingue. Dix mois étaient passés, et la douleur, la peur étaient toujours là. « C’est toujours aussi net ? Aussi précis ? » ; je soupire, et les images me reviennent. Mikhaïl dans notre canapé, torse nu, cette fille brune au-dessus de lui, si proche de ses lèvres, trop proche à mon goût. Son regard lorsqu’il voit que je suis rentrée, que je suis à la fois furieuse et terriblement déçue. Vingt-six mois de relation foutus en l’air, des fiançailles célébrées en famille mises à l’eau, un bonheur qui devient souffrance en deux secondes. « Oui, toujours. Je vois tout, tous les détails, et la douleur reste la même. Comme si… comme si on m’enfonçait quelque chose dans le cœur. Comme si j’étouffais parce qu’on comprimait ma poitrine. Tout est identique, sauf que cette fois, c’est un rêve. » ; j’étais toujours amoureuse. Il avait beau m’avoir fait un mal de chien, m’avoir brisée, m’avoir menti, je l’aimais toujours. Depuis la toute première fois que je l’ai vu, dans ce parc pendant que je faisais mon jogging matinal et qu’il jouait au football avec son neveu de huit ans, j’ai toujours pensé qu’il était mon âme sœur. Des débuts difficiles, des mots qui partaient dans tous les sens, avant que, finalement, on s’avoue nos sentiments respectifs. Pourquoi, au final ? Pour qu’au bout de plus de deux ans de relation, il me trompe avec une pétasse de passage, probablement une de ses assistantes au bureau, et qu’il me brise totalement. Je m’étais déconnectée, j’étais retournée chez mes parents, et m’étais enfermée dans ma chambre pendant plus d’un mois. J’avais perdu du poids, mes cheveux étaient devenus un grand n’importe, et j’avais laissé mon entreprise à l’abandon. Heureusement que je travaillais avec des gens de confiance, ou j’aurais tout perdu. J’avais eu mal, très mal. Et c’était encore le cas aujourd’hui, malheureusement. « Est-ce que vous avez revu Mikhaïl ces derniers mois ? Peut-être que ça pourrait expliquer… » ; « Non. » ; la coupais-je, sachant où elle voulait en venir. Non, je ne l’avais pas revu, donc non, ce n’était pas à cause de ça que la souffrance restait telle. À vrai dire, je ne zappais même plus sur la chaîne de sport où il travaillait, de peur de malencontreusement tomber sur l’un de ses reportages, et devoir le regarder pendant plusieurs minutes. Ce serait pire… probablement bien pire. « Non, je ne l’ai pas revu depuis. J’évite tout contact, de près ou de loin, dès que quelqu’un prononce son prénom, je suis prête à fondre en larmes. Je suis pitoyable. » ; je lève les yeux, retenant les larmes qui menacent de couler à tout instant. Je suis misérable, et pitoyable. J’ai une vie dont beaucoup rêveraient… je possède une entreprise qui fonctionne très bien, j’ai de l’argent, une magnifique maison… mais mon âme sœur m’a trompée. Et c’est pire que tout. « Est-ce que vous avez une idée de pourquoi vous n’arrivez pas à passer au-dessus de ça ? » ; j’ai un rire amer, et je hausse les épaules. Cette fois, les larmes coulent, et j’attrape un mouchoir en papier pour les essuyer. « Sûrement parce qu’il était mon âme sœur. Et qu’il l’est toujours… » ;
27 décembre 2010.
« Il faut absolument que je vous parle ! » ; j’entre en trombe dans le bureau de ma psychologue. Non, je ne débarque pas à l’improviste, elle était prévenue, et m’attendait entre deux rendez-vous. J’ai l’air d’une folle, et je le sais. Je claque la porte derrière moi, et je m’assieds face à elle. « Que se passe-t-il Charlotte ? » ; que se passe-t-il ? Tellement de choses, trop de choses ! Je ne gère plus, je n’arrive plus à gérer depuis samedi soir ! J’ai tenté, hier, de me calmer, de me poser et de réfléchir, mais tout ce que j’avais réussi à faire, c’était planter des dizaines de croquis urgents que je devais faire pour la boîte. Sans arriver à rien. Voilà pourquoi je m’étais résolue à prendre un rendez-vous de plus. « J’ai couché avec lui ! Je suis complètement folle ! Il m’a trompée, et j’ai couché avec lui… pourquoi est-ce que j’ai fait ça ?! » ; j’enfuis mon visage dans mes mains, lâchant une longue plainte de lamentation. Je m’en veux tellement… et le pire, c’est que c’est moi qui ai commencé. Je suis tombée sur lui, dans un Starbucks de la ville. J’ai voulu l’éviter, mais il est sorti, et il m’a suivie… avant de me rattraper. Il semblait fatigué, triste, amaigri, et je n’ai pas pu résister. Il m’a embrassée, et j’aurais pu le repousser, mais je ne l’ai pas fait, l’incitant à aller plus loin par des gestes et des soupirs. Et j’ai pas eu le temps de réaliser qu’on était chez lui – enfin, chez nous, dans l’appartement qu’on avait acheté à deux – et que j’étais dans notre ancien lit, nue sous lui, lui en moi. Et que j’ai pris un pied de dingue avant de réaliser l’énorme connerie que je venais de faire. « Charlotte, calmez-vous ! Que s’est-il passé ? » ; je soupirais, et me redressais un peu, essayant de reprendre une certaine contenance, sans grand succès, bien évidemment. « Je l’ai croisé dans un Starbucks… j’ai voulu l’éviter, mais il m’a rattrapée, et m’a forcée à parler. Il semblait tellement… désemparé, triste, presque autant que moi je crois ! J’ai craqué… il m’a embrassée, et je l’ai incité à aller plus loin. J’en avais envie… c’était mon corps qui commandait, pas mon cerveau ! Il a sauté sur l’occasion, et on s’est retrouvé chez lui… enfin, chez nous. Bref, vous voyez… je n’ai réalisé qu’après coup. » ; je soupirais une nouvelle fois, bien plus longuement, avant de me rappeler d’un autre détail. « Oh mon dieu ! Mais qu’est-ce que mes parents vont penser ? » ; ils avaient été là pour moi lorsque j’avais quitté Mikhaïl. Ils m’avaient couvée, protégée, m’avaient laissé le temps dont j’avais besoin avant de me forcer à reprendre des forces et à repartir du bon pied. Ils avaient ignoré les appels de mon ex fiancé, et je sais que mon père avait eu une vive altercation avec lui à ce propos. Et moi, qu’est-ce que je faisais ? Je détruisais tout ça à cause de mon corps, à cause de mes envies indescriptibles ! J’étais dingue, complètement ! « Vos parents n’ont pas à savoir cela… » ; c’était simple à dire… mais je leur disais tout depuis mon plus jeune âge. J’avais toujours eu une relation très fusionnelle avec eux. Malgré leurs emplois du temps très chargés à cause de leurs fonctions, ils avaient été là pour moi et m’avaient donné tout l’amour dont j’avais besoin. Je ne saurais jamais leur mentir… « Je leur dis tout, je ne saurais pas faire autrement… » ; que faire ? Perdue, c’est le mot qui me correspond bien pour l’instant. Mikhaïl semblait si misérable après tout ça, après dix mois… je l’avais trouvé amaigri, sans cette lueur de malice qu’il avait toujours eue dans les yeux. Mais en même temps, il m’avait trompée, et je ne pouvais pas lui pardonner. Jamais… c’était trop dur. Alors, que faire ? Dix mois que je me lamentais, que je tentais de remonter la pente, pour finalement retomber dans ses bras et regretter…
Dernière édition par Charlotte J. Hattaway le Lun 27 Déc - 3:21, édité 5 fois |
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❦ W. Jheylann Calloway ❦ JHEYLANN ❥ cruell'admin.
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| Sujet: Re: CHARLOTTE ♠ what do you want from me? Lun 27 Déc - 14:49 | |
| BOUH faut arrêter d'être si rapide, j'ai même pas eu le temps de te souhaiter la bienvenue. alors BIENVENUUUUUUE. (a) En plus, tu as prit KIKIBELL quoi, la sublime, la magnifique l'orgasmique ! Enfin bref, bon jeu parmi nous, en espérant que tu t'y plaira. |
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