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 (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant

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Charlotte J. Hattaway

Charlotte J. Hattaway
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MessageSujet: (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant   (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant EmptyLun 27 Déc - 19:26

INFORMATIONS
LIBRE - RÉSERVÉ- PRIS
Je suis Meghan Deborah Avery, et je suis âgée de 24 ans. Je suis associée avec ma meilleure amie à la direction d'une grande boîte de textile qui fonctionne du tonnerre.

Concernant le statut, il est totalement libre... ses amours ne regardent que vous! (: L'avatar que j'ai choisi est Olivia Wilde parce que... je l'aime beaucoup! (a) Mais il est négociable. Néanmoins, prévenez-moi de vos choix, et je vous dirais ce que j'en pense.
THIS YOUR STORY
L'histoire est plutôt libre, mais il y a quelques points qui sont à respecter :
♣ Elle a passé une bonne partie de son enfance à New York, vu que c'est là et à ce moment-là qu'elle a rencontré Charlotte. Elle a déménagé avec elle à Portland à son entrée au lycée.
♣ Elle n'a jamais été fort proche de ses parents, c'est pour ça qu'elle passait la majorité de son temps chez Charlotte.
♣ Elle s'est beaucoup méfiée de Mikhaïl lorsqu'elle l'a rencontré par la première fois. Il lui a prouvé qu'il aimait vraiment Charlotte, et elle croit au fait qu'il n'a pas trompé cette dernière.
♣ Elle est très positive, et fait tout son possible pour aider Charlotte à remonter la pente.
I sneak in and see your friends And her snotty little family all dressed in pastel And she is yelling at a bridesmaid Somewhere back inside a room
Wearing a gown shaped like a pastry This is surely not what you thought it would be I lose myself in a daydream Where I stand and say Don’t say "Yes", run away now I’ll meet you when you’re out of the church at the back door
Don’t wait or say a single vow You need to hear me out And they said, "Speak now"
MEGHAN DEBORAH AVERY




IF WE WERE IN A MOVIE
CHARLOTTE J. HATTAWAY.

« Il faut que tu voies un psy Charlotte ! » ; ma meilleure amie soupire, et se renfonce dans son siège de bureau, un peu plus. Elle semble déjà si petite, et si chétive, il faut qu’en plus, elle en rajoute. Elle a des cernes impossibles, et je sais qu’elle a encore fait des cauchemars. Sauf qu’elle ne me le dit plus, tellement ça arrive souvent. « Non, ça passera tout seul. C’est juste une question de semaines. Ca ira… » ; cette fois, c’est moi qui soupire. Je n’ai jamais osé m’opposer à elle depuis sa rupture avec Mikhaïl. J’ai bien essayé de lui faire comprendre que certes, ce qu’elle avait vu était très tendancieux, mais que son fiancé ne l’avait pas trompée. Sauf qu’elle était bornée, la petite blonde… « Charlie, ça fait huit mois ! Huit mois, et tu pleures encore dès que tu vois ne fut-ce qu’un mini truc qui te rappelle Mikhaïl, que tu cauchemardes quasiment chaque nuit sur ce qu’il s’est passé ! Il faut que ça cesse ! Soit tu t’expliques avec lui, soit tu vas voir un psy. » ; j’espérais vivement qu’elle prendrait la première solution. Mikhaïl était mon ami également, et croyez-moi, il n’y avait pas que Charlotte qui était minable en ce moment. Lui aussi avait beaucoup de mal à remonter la pente, ne sachant pas s’il devait continuer à espérer, ou juste passer à autre chose. De toute façon, ils n’y arriveraient pas. Ni l’un, ni l’autre. Ils étaient des âmes sœurs, c’était clair et net. Il suffisait que je me rappelle comment ma meilleure amie me l’avait décrit la toute première où elle m’a parlé de lui. J’avais même dû lui tirer les vers du nez. Je ne l’avais jamais vue aussi rêveuse, aussi heureuse. Ses yeux pétillaient de plaisir alors qu’il ne s’était encore strictement rien passé entre les deux. C’était fou… et au fil du temps, j’avais découvert que c’était le cas aussi pour Mikhaïl. « Très bien. Trouve-moi un psy, et j’irais ! » ; merde ! J’avais encore foiré mon coup… je ne trouvais pas le moyen de les rabibocher ces deux là. C’était impossible ! Même aller le voir pour récupérer ses affaires, Charlotte refusait de le faire. « Reste qu’il faut que tu lui parles Cha… » ; tentais-je en douceur, et je me récoltais un regard noir de ma meilleure amie, qui se redressait dans son fauteuil de présidente. Dire que si je n’avais pas été là, l’entreprise aurait coulé, vu combien elle s’était laissée allée les premiers mois de a rupture. « Je n’ai rien à lui dire, et je ne veux rien savoir de plus ! Je lui enverrais sa bague par courrier, ça suffira. De toute manière, j’ai les moyens de tout me racheter. » ; quand je vous disais que cette fille est bornée…

« MEGHAN ! Ouvre-moi cette porte ! » ; samedi soir, vingt-trois heures. C’est quoi encore, le drame qu’il s’est passé pour que Charlotte cogne à ma porte si tard ? Pourtant, elle semblait aller mieux… elle s’était reprise en main dernièrement, reprenant le travail sérieusement, et tentant de manger un peu plus – sans grand succès, il fallait l’avouer. Dix mois maintenant que la séparation avait eu lieu, et visiblement, la psychologue chez qui je l’avais envoyée l’aidait bien. Ou alors, elle me cachait des choses… j’ouvrais finalement la porte de mon appartement, et tombais sur une furie. Cheveux complètement défaits, maquillage séché qui avait coulé sur les joues, elle entrait en trombe chez moi, et filais dans ma cuisine pour se servir un verre de vodka rapsberry. Et quand je dis un verre… c’était pas le plus petit qui soit ! « Hé, hé ! Non, Charlotte ! Dis-moi plutôt ce qu’il se passe… » ; elle rattrape le verre que je lui ai pris des mains quelques secondes auparavant et, avant même que je ne puisse réagir, elle le vide d’un trait. Outch… bonjour la gueule de bois demain matin ! Ca ne semble pas être son premier verre… « Putain de merde ! Y a que mon cul qui l’intéresse ! QUE MON CUL ! » ; elle parle pas de Mikhaïl là quand même… si ? Oh putain, qu’est-ce qu’il s’est encore passé ? « Sois plus claire ! J’y comprends rien là ! » ; elle se ressert un verre, mais je lui prends la bouteille des mains, et la vide sans scrupule dans l’évier. Elle soupire, et vide le peu qu’elle a pu prendre d’un coup. « J’ai couché avec lui. Avec Mikhaïl. Dire que tu me disais ‘Va lui parler ! Il t’expliquera !’. Bah non. Tout ce qu’il a pu faire, c’est me sauter. Avant de jouer une bien belle comédie quand je me suis rendue compte de mon erreur. » ; oh merde ! Qu’est-ce qu’il a encore foutu celui-là ? Pourquoi est-ce qu’il l’a ramenée chez lui ? Il devait lui parler ! Lui PARLER bon dieu ! Ca, c’était juste le meilleur moyen de la faire fuir. « Attends ! Peut-être que… » ; « Que rien du tout ! Je lui ai rendu sa bague, je n’ai plus rien à faire avec ! Tu sais quoi ? J’en ai marre, Meghan ! Ca fait dix mois que j’essaie de remonter la pente pour un mec accro à rien d’autre que le cul. J’sais même pas pourquoi il m’a demandée en mariage ! Après tout, je devais plus le faire chier qu’autre chose ! » ; là, elle est définitivement bourrée. « Tu lui as rendu la bague ? Ta bague de fiançailles? » ; elle acquiesce, et baisse la tête pour fondre en larmes. Je la prends dans mes bras et tente de la rassurer. Si elle lui a rendu sa bague de fiançailles… c’est que vraiment, elle veut passer à autre chose. Je savais très bien qu’elle s’imaginait ce bijou comme étant la seule chose qui la rattachait à lui. Qu’elle le regardait chaque soir avant de s’endormir, comme pour se torturer un peu plus… si elle la lui avait rendue, c’était qu’elle n’avait plus d’espoir. Et c’était le pire qui puisse arriver…

MIKHAÏL J. WEAVER.

Je tape à la porte de son appartement depuis déjà cinq bonnes minutes. Je sais qu’il est là mais, visiblement, il ne semble pas déterminé à lever son cul et à venir m’ouvrir. 14h30, il devrait pourtant être levé ! Surtout qu’il bossait d’ici une heure ou deux, il y avait un match ce soir, j’avais vu la publicité à la télévision… et c’était lui qui commentait. « MIKHAÏL, je sais que t’es là, alors ouvre-moi cette porte ! » ; pas de réponse. Néanmoins, je lui laisse le bénéfice du doute, et attends une bonne minute. Pourquoi je viens ? Pour voir son état. J’sais qu’il semble aller bien à la télévision, mais je l’ai vu si pitoyable que je sais que ça ne va pas au fond. Il est dingue de Charlotte, et il l’a perdue. Comment voulez-vous qu’il se sente bien ? Je tape une nouvelle fois contre sa porte et, cette fois, il réagit enfin. « Ouais, ouais, du calme, j’arrive ! » ; j’attends encore quelques secondes avant d’entendre la clé tourner dans la serrure. J’ouvre moi-même la porte, et il m’a déjà tourné le dos pour aller dans sa cuisine. Je l’y suis, remarquant l’état pitoyable de ses cheveux… plus ça allait, pire c’était. Il se laissait aller, un truc de malade. Alors qu’à la base, il était plutôt beau garçon, il devenait vraiment repoussant. Et ce fut pire lorsqu’il me fit face. Bordel, mais ça faisait combien de temps qu’il ne s’était plus rasé ?! « T’as quoi à manger ? » ; je le regarde, pitoyable avec son jus d’oranges qu’il boit au goulot. Et le pire, c’est qu’il n’en a rien à foutre. Je suis sûre qu’il est prêt à aller bosser comme ça, sans se coiffer ni se raser. Voire même sans se raser ! « Rien. Ma mère a fait les courses y a plus de deux semaines, et mis à part du jus et du café, j’ai quedal. Donc, jus ou café ? » ; abasourdie, je hausse les sourcils et lui arrache le carton de jus d’oranges des mains. D’accord, il ne savait pas cuisiner, c’était pas nouveau. Charlotte m’avait raconté le désastre de sa tentative ultra-ratée de dîner romantique qu’il avait faite il y a un peu plus de deux ans, avant d’abandonner, tout penaud, et de l’inviter au restaurant. Mais de là à se nourrir de café et de jus d’oranges ! « Et tu te nourris que de ça depuis quand ? » ; il hausse les épaules, et semble réfléchir quelques instants avant d’enfin me répondre. « Je crois que j’ai mangé une pizza avant-hier. Et y avait deux-trois trucs à bouffer au boulot, hier. » ; je soupire sans faire de commentaire, essayant de reconnaître le type qui pouvait s’empiffrer de plusieurs plats de suite aux différentes soirées que j’avais faites. J’ouvre les placards de la cuisine, à la recherche de trucs potables à manger, et tombe sur des aliments périmés depuis des mois. « Putain, t’as des trucs périmés depuis des mois là-dedans ! Ca te dit pas d’les jeter ? » ; « Tu touches pas à ça Meghan ! Laisse-les là où c’est ! » ; la violence de son ton me fait stopper net, et je me retourne pour le fixer. D’accord… c’est des trucs à Charlotte, et malgré que ça peut se mettre à pourrir et puer à tout instant, il veut pas s’en séparer. Je soupire… j’ai de la peine pour lui, pour combien il souffre de cette séparation. « Je sais que tu veux qu’elle revienne, Mikhaïl, mais elle vient de s’acheter un nouveau loft… et elle ne compte pas venir chercher ses affaires. » ; il semble perdu, et se passe une main dans les cheveux. J’aime pas devoir annoncer ce genre de trucs, mais il le faut. Il l’aime, elle l’aime, mais elle ne veut pas croire au fait qu’il ne l’a pas trompée. C’est bête, mais c’est comme ça. Il bouge et je le suis. Il s’arrête dans la chambre, et se tourne vers moi. « Pourquoi est-ce qu’elle refuse de m’écouter ? » ; il est totalement désemparé, et la détresse emplit son regard. J’aimerais tellement pouvoir y faire quelque chose, mais c’est le choix de ma meilleure amie, et elle n’en démord pas… malheureusement. « C’était tendancieux… trop tendancieux pour elle pour croire à une coïncidence. » ; « Mais je ne l’ai pas trompée ! » ; il avait haussé le ton… mais ça ne servirait à rien. Je le croyais, personnellement, je le croyais depuis le départ, depuis que je l’avais vu complètement désemparé suite à cette rupture. Il m’avait juré qu’il ne s’était rien passé, et m’avait tout expliqué. Et j’y avais cru, simplement, parce que ça crevait les yeux qu’il n’avait rien fait. « Je te crois… le problème, c’est qu’elle, elle n’y croit pas. Mais elle ne t’a pas oublié. Alors, il faut que tu te reprennes en main et que tu ailles de l’avant ! Soit pour la récupérer, soit pour passer à autre chose. » ; une lueur d’espoir jaillit dans son regard, et je compris qu’il choisissait plutôt la première solution. Tout n’était peut-être pas perdu !

J’arrive en trombe dans l’immeuble de Mikhaïl, et monte les escaliers quatre à quatre. Bordel, mais quel con ! Qu’est-ce qui lui a encore pris pour coucher avec Charlotte ?! C’est fou tout de même, ils devaient s’expliquer, pas se retrouver dans le même lit ! Ca tombe bien, lorsque j’arrive près de sa porte d’entrée, il est devant celle-ci, en train de la verrouiller. « Bordel, mais qu’est-ce que tu as foutu ?! » ; il se tourne vers moi et soupire, fourrant ses clés dans sa poche. Néanmoins, il ne bouge pas, visiblement relativement disposé à me parler. « J’ai merdé, je le sais, c’est pas la peine de me le rappeler ! » ; il s’avance vers moi et me tire par le bras tandis que sa voisine sort sur le palier. Visiblement, elle a entendu le début de la conversation, et veut voir comment se passera la suite. Ce qu’il n’était pas disposé à faire. Il m’emmena dans les escaliers, visiblement pour quitter l’immeuble. « Pourquoi tu as fait ça ? » ; demandais-je, pas radoucie pour autant, parce qu’il me semblait bien énervé, et aller un peu mieux. Du moins, il semblait moins minable qu’auparavant… ce qui était bizarre. « Je sais pas ! Je sais pas du tout ce qui m’a pris ! Tout ce que je sais, c’est que j’étais parti la rattraper dans le but de lui parler et je l’ai embrassée ! Ouais, j’en avais envie, mais elle m’a pas repoussé et… une chose en entraînant une autre, voilà. » ; on était maintenant dans la rue en bas de chez lui, et on marchait. Il ne me regardait pas, mais je savais qu’il était énervé, et ça m’étonnait… je l’avais connu déçu, triste, s’énervant dès qu’il était question de perdre Charlotte pour de bon, mais pour ce genre de cas. « Hey, du calme, j’y suis pour rien moi ! C’est juste que t’as merdé, parce qu’elle pense n’importe quoi maintenant. » ; « Elle m’a rendu la bague… » ; cette fois, je retrouvais un peu le Mikhaïl que je connaissais depuis dix bons mois. Il s’arrête, et je lui fais face. Je sais qu’il n’a pas fini de parler alors, je ne dis rien, le laissant simplement continuer. « Yelena dit que je dois laisser tomber. Parce que ça fait dix mois que je me morfonds pour rien, parce qu’elle ne revient pas. Et je crois qu’elle n’a pas tort. Ca en plus… ça fait beaucoup. Peut-être que je devrais vraiment le faire. » ; je savais que sa sœur, Yelena donc, avait du mal de le voir comme ça… que ça lui faisait de la peine de le voir se mettre dans ces états-là depuis dix mois, pour quelque chose qu’il n’avait pas fait. Mais il ne pouvait pas baisser les bras ! Ils étaient des âmes sœurs, des vraies ! C’était le seul couple qui me faisait croire en l’amour, le vrai, le réel, et il était hors de question que ça se termine de cette manière. « Non, Mikhaïl ! » ; c’était sorti tout seul, et je le forçais à me regarder et tirant sur ses bras. « Tu es amoureux d’elle, et elle est amoureuse de toi, bordel ! Il faut qu’elle comprenne, il faut que tu lui expliques et qu’elle sache que tu n’étais pas en faute dans ce qu’elle a vu ! Ne baisse pas les bras bon dieu ! Ok, je peux comprendre que ça te fasse du mal, je sais que tu en as marre de souffrir, mais… mais c’est la femme de ta vie, tu me l’as dit, répété des dizaines de fois, et j’y crois ! Elle est stupide de ne pas croire à la vérité, mais tu es tout aussi stupide de penser à abandonner alors que tu n’as même pas abattu toutes tes cartes ! » ; il me regardait, semblant peser le pour et le contre. Il soupira, et regarda quelques instants ailleurs, avant de lui répondre, plus calmement. « De toute façon, je pense pas pouvoir abandonner comme ça, alors… » ; je souriais, entrevoyant à nouveau l’espoir de rabibocher ces deux-là.


Dernière édition par Charlotte J. Hattaway le Mar 28 Déc - 17:06, édité 2 fois
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Meghan D. Avery

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MessageSujet: Re: (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant   (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant EmptyMar 28 Déc - 16:08

Me voilà loove
J'ai fondu pour ton scénario, j'adore ! dingue
Et vu que l'avatar est négociable, j'en profite, ces derniers temps j'aime beaucoup Katerina Graham et je pense même que ce serait intéressant d'intégrer un personnage de couleur pour cette amitié. ça te tente ? Si non, ne t'en fais pas, Olivia me va très bien aussi tongue
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Charlotte J. Hattaway

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MessageSujet: Re: (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant   (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant EmptyMar 28 Déc - 16:13

    JE T'AIME own
    Merci d'avoir pris ce scénario, je le termine d'ici quelques minutes, j'ai juste la dernière anecdote sur Mikhaïl à faire! câlin
    Par contre, j'aime beaucoup Katerina Graham également - elle est juste magnifique, et comme tu dis, ça peut être intéressant - le problème, c'est qu'il y a déjà quelqu'un qui l'a prise et qui se présente... No
    Donc, je te laisse choisir... Katerina ou Olivia, les deux me vont, je les aime beaucoup l'une comme l'autre! tongue
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Meghan D. Avery

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MessageSujet: Re: (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant   (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant EmptyMar 28 Déc - 16:16

Pas de soucis, je te laisse le temps de la faire !
Hmmm et bien dans ce cas, je prends Kath pour commencer et si j'ai fini avant l'autre, je la garde (enfin si j'ai le droit) et autrement, je prendrai Olivia Very Happy
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MessageSujet: Re: (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant   (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant EmptyMar 28 Déc - 16:17

    Parfait! dingue
    Je termine le scénario, et je t'envoie un mp quand j'ai terminé la dernière partie! Ca ne devrait pas prendre trop de temps.
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MessageSujet: Re: (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant   (F) O. WILDE ♣ l'intérêt d'un ami est dans sa présence à tout instant Empty

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