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 (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had

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AuteurMessage
Charlotte J. Hattaway

Charlotte J. Hattaway
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MessageSujet: (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had   (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had EmptyLun 27 Déc - 14:03

INFORMATIONS
LIBRE - RÉSERVÉ- PRIS
Je suis Mikhaïl Ryan Weaver, et j’ai 27 ans. Dans la vie, je suis commentateur sportif sur une grande chaîne américaine, et j’adore mon métier. Je suis célibataire depuis maintenant dix mois, et je vis très mal cela. Je suis né à Portland, et j’y vis toujours actuellement.
L’avatar est Josh Duhamel, et il est vraiment très peu négociable… je le vois vraiment dans le rôle, et c’est avec ‘lui’ que j’ai envie de rp. Mais bon… vous pouvez toujours tenter si vous avez des idées ! :p
THIS YOUR STORY
L’histoire est assez libre, mais il y a quelques points à respecter :
♣ Il s’appelle Mikhaïl parce que sa mère a toujours été obsédée par la Russie, et pas parce qu’il a des origines de par-là.
♣ Il a une sœur (aînée, probablement), qui a un fils de dix ans. Il est très proche des deux.
♣ Il vit très mal sa séparation avec Charlotte. Il l’aime, et il trouve injuste ce qu’il s’est passé. Contrairement à ce qu’elle croit, il ne l’a pas trompée. Il n’aurait jamais pu le faire.
♣ Il est très sportif, et a longuement hésité avec une carrière de footballer professionnel, avant de se lancer dans le journalisme sportif.
♣ Il a rencontré Charlotte pour la première fois il y a environ trois ans, et malgré le coup de foudre qu’il a eu, il a longtemps cru qu’elle n’était qu’une connasse de plus, imbue de sa personne, uniquement intéressée par le fric que lui rapporterait son entreprise.
♣ Avant Charlotte, il n’a eu que des relations foireuses. Il a d’ailleurs longuement hésité avant de la demander en mariage.
♣ Il a un passé d’infidèle, ce qui contribue que tout le monde croit réellement qu’il a trompé son ex fiancée.

you and i were living like a love song, i feel so bad, i feel so bad that you're gone, now I know you're the only one that i want, i want you back, i want you ; now i'm here to say i'm sorry, and ask for a second chance cause when it all comes down to the end, i could sure use a friend, now i'm here to say i'm sorry, and ask for a second chance, all i want to do is make it up to you cause when it all comes down to the end, you were the best i ever had ; we fell in love for a reason, now you're leaving, and i just want you back, so many things we believed in, now you're leaving and words won't bring you back, i'll never let go of the heart i broke
MIKHAÏL JACK WEAVER.





IF WE WERE IN A MOVIE
« Hey tonton, attrape ! » ; je riais alors que le gamin de ma sœur me balançait la balle de football qu’il avait dans les mains, mais je fus vite détourné par l’image d’un corps svelte qui passait près de l’espace d’herbe dans lequel j’étais avec lui. Elle était en jogging, transpirante, essoufflée mais elle était magnifique. Un ange… petite, blonde, mince, bref, tout l’opposé des femmes avec qui je sortais d’habitude. J’aimais les brunes, grandes, avec des formes là où il fallait. Mais elle… je reprenais mes esprits lorsque je recevais un gros coup en pleine figure. La balle m’avait atteint. Et mon neveu éclatait de rire. Tant pis… je pouvais pas la laisser passer. « Attends-moi ici. Ne bouge pas hein ! » ; je courrais alors en direction de la jeune femme qui venait de s’arrêter pour boire un coup et souffler un peu. Je l’atteignais en quelques foulées, et m’arrêtais près d’elle. « Hey ! On se serait pas déjà vu quelque part ? » ; l’approche débile mais qui fonctionnait toujours. Elle relevait la tête vers moi, et me détailla quelques instants, sourcils froncés, avant de visiblement comprendre et de souffler doucement. « Qu’est-ce que vous me voulez ? » ; elle se baissait pour relacer l’une de ses chaussures, alors qu’elles étaient parfaitement nouées. Parfait, je la déstabilisais… premier bon point. « Rien de spécial… je suis Mikhaïl ! Vous êtes ? » ; elle releva la tête vers moi, semblant peser le pour et le contre, avant de se redresser, et de poser ses mains sur ses hanches. Et là, elle m’accorda son tout premier sourire. « Charlotte. Et laissez-moi vous dire que votre technique pour aborder les femmes est totalement dépassée ! » ;

Ca faisait plusieurs mois que je connaissais Charlotte, et je devais bien avouer que j’avais eu du mal à lui faire confiance. Issue d’une famille riche, elle possédait une grande entreprise qui montait en ce moment, et j’ai été un moment persuadé qu’il n’y avait rien d’autre qui l’intéressait que l’argent qu’elle pouvait se faire en travaillant. Seulement, j’avais eu tort. Au fil de mes rencontres avec elle, souvent anodines parce que j’avais fini par vouloir l’éviter, j’avais découvert une fille simple, certes un peu chiante, mais gentille et ambitieuse comme il le fallait. Et pire dans tout ça… j’en étais tombé fou amoureux. Vraiment ! Au début, je m’étais demandé pourquoi je me sentais comme ça quand j’étais près d’elle, pourquoi mon cœur s’accélérait, pourquoi j’avais beaucoup plus chaud, pourquoi j’avais tout le temps un sourire de con aux lèvres lorsque je venais de passer ne fut-ce que quelques minutes avec elle. Et il avait fallu que ma sœur me claque « Mais t’es amoureux, ducon ! » ; pour que je réalise qu’elle avait raison. J’avais, plusieurs fois, eu l’impression de l’être dans le passé, mais ce n’était rien comparé à ce que je ressentais pour Charlotte. Alors, j’ai tenté de la séduire. À la place de l’éviter, je l’ai invitée de nombreuses fois à sortir. Restaurant, cinéma, balades dans les parcs de Portland… je faisais les choses bien, et j’essayais de me faire pardonner pour tout ce que j’avais pensé sur elle les premiers mois, même si elle n’était pas au courant. Jusqu’au soir où je l’ai emmenée au bord de la mer. Elle m’avait confié que c’était l’un des endroits qu’elle préférait au monde, parce qu’elle trouvait le bruit de l’eau apaisant et qu’elle s’y sentait bien. On marchait côte à côte, sans un mot, avant que je ne me décide, et que j’attrape doucement son bras pour qu’elle s’arrête et me regarde. « Charlotte, j’ai un truc à te dire… » ; mon cœur cognait dans ma poitrine, et semblait pouvoir s’arrêter à tout instant. Je n’entendais plus rien autour de moi, seule elle comptait. Elle me regardait attentivement, comme si elle voulait lire dans mon esprit où je voulais en venir. « Je… je crois que j’ai des sentiments pour toi. » ; tout de suite, je regrettais ma phrase qui était sortie toute seule. Je ne l’avais même pas imaginée à vrai dire… non, je ne croyais pas, j’en étais sûr. Et ce n’était pas juste des sentiments stupides, j’étais amoureux d’elle. Seulement, le lui sortir comme ça… ça risquait plus de la faire fuir qu’autre chose. « Des sentiments… comme… ? ; je soupirais doucement, et m’approchais un peu plus d’elle. Elle ne bougeait pas, elle se contentait de me regarder dans les yeux, probablement pour vérifier que j’étais sincère, ou non. « Comme là, maintenant, mon cœur qui bat à une vitesse folle parce que tu es là. Ou ce putain de sourire bêta que j’ai sur la face dès que j’ai passé quelques minutes avec toi, Charlotte… tu provoques tout ça en moi. Et je peux plus l’ignorer. » ; un long moment ce silence suivit ma déclaration et, je pensais que tout était perdu. Que pour elle, je n’étais qu’un ami, ou juste un gars de passage avec qui elle voulait s’amuser, mais qu’elle ne s’attendait pas à ce qu’il ait des sentiments pour elle. Je pensais à tout cela, jusqu’au moment où deux fins bras s’enroulèrent autour de mon goût, et que des lèvres au goût fruité se collèrent aux miennes. Si je pensais que mon cœur ne pouvait pas dépasser le rythme précédent, j’avais eu tort… là, c’était pire, ou meilleur que tout. Je glissais mes mains sur ses hanches, lui rendant ce baiser avec amour. Charlotte et Mikhaïl, le début d’une bien belle histoire à la fin désastreuse…

« CONNARD ! » ; la fille que je m’évertuais à repousser depuis cinq bonnes minutes, mais qui semblait avoir trouvé le truc pour rester accrochée à moi se redresse enfin, et j’en profite pour la pousser et me lever. Merde… c’est Charlotte qui a gueulé comme ça, et lorsque mon regard se pose sur elle, je la découvre les larmes aux yeux, l’air déçue comme pas possible et furieuse à la fois. Elle tourne les talons, et quitte l’appartement. « Chérie, attends ! C’est pas ce que tu crois ! » ; je ne prête plus aucune attention à la connasse qui m’a suivi chez moi, soi-disant pour de l’aide sur son travail de fin d’études, et je sors pour suivre ma fiancée qui dévale les escaliers à tout vitesse. Elle sort de l’immeuble, et je la suis quelques secondes après. Je cours, et la rattrape en quelques pas. Je touche son bras, et elle se retourne… je me prends la claque du siècle, et découvre son visage en larmes. « Ne me touche pas Mikhaïl ! » ; sa voix est drôlement aiguë, et pleine de sanglots. Je m’en veux tellement de lui faire du mal… mais je n’ai rien fait bon dieu ! « Charlotte, écoute-moi ! Je te jure qu’il ne s’est rien passé ! » ; « C’est ça ! Prends-moi pour une conne ! Dis-moi aussi, sûrement, que je dois aller faire réviser ma vue ! T’es vraiment un enculé ma parole ! Putain, vingt-six mois ! J’me suis fait berner pendant plus de deux ans ! » ; « Non, Cha ! Je te jure, il ne s’est rien passé, et il n’allait rien se passer, je la repoussais ! » ; elle lâche un rire amer, et je vois qu’elle lute contre l’explosion de larmes. J’ai qu’une envie, l’attirer contre moi, et la serrer très fort pour la rassurer. Lui prouver que ce qu’elle croit est faux. Mais comment ? J’comprenais que ça puisse être tendancieux, cette garce était au-dessus de moi, et très proche de mon visage. « Tu sais quoi ? N’essaie même pas de me raconter des conneries, parce que j’y crois pas. C’est fini Mikhaïl ! Fini, et je ne veux plus jamais te voir ! À partir d’aujourd’hui, tu ne fais plus partie de ma vie ! » ; elle tourne les talons, et j’attrape une nouvelle fois son bras. Mon cœur me fait mal, ça peut pas se terminer comme ça ! C’est impossible ! « Non, écoute-moi ! » ; « FERME-LA ! Je ne veux plus t’entendre ! Et laisse-moi partir ! » ; cette fois, lorsqu’elle se retourne, je sais que c’est fini. Que je n’ai pas pu la retenir, et que je n’y arriverais pas. J’ai l’impression d’être en ruine. Que mon cœur s’est brisé en milliers de petits morceaux, et qu’il ne se reconstruira jamais. Je la vois au loin monter dans sa voiture et démarrer en trombe. Et lorsque je retourne dans notre appartement, la garce n’est plus là… elle, si je retombe dessus, elle va me le payer très cher !

Dix mois. Dix longs mois que Charlotte m’a quitté et que je n’ai plus envie de rien. Je suis dans mon lit, et je me retourne sur le ventre pour émerger doucement de mon sommeil. Je tends mon bras vers le côté droit du lit mais, comme chaque matin depuis dix mois, il est froid. Ma fiancée n’est plus là, et j’ai du mal à m’y faire. Ma penderie sent encore son odeur, et toutes ses affaires sont toujours là. Elle n’est jamais revenue les chercher, alors que je comptais là-dessus pour tout lui expliquer, à tête un peu plus reposée. Mais non… elle n’avait jamais débarqué. Trois coups forts raisonnèrent dans l’appartement, et je soupirais, enfouissant ma tête sous mon oreiller. C’était pas le moment… j’ai une gueule de bois – une de plus – d’enfer ce matin, et je ne voulais voir personne. « MIKHAÏL, je sais que t’es là, alors ouvre-moi cette porte ! » ; Meghan… l’une de mes plus proches amies, et accessoirement la meilleure amie de Charlotte. Je soupire, et me redresse dans mon lit en me frottant les yeux avant de regarder l’heure. 14h30… si je ne me lève pas, je vais être à la bourre. Heureusement qu’elle s’est ramenée ! Trois nouveaux coups, plus fort. Je me lève en gueulant. « Ouais, ouais, du calme, j’arrive ! » ; j’enfile rapidement un jeans et un polo. Je me suis pas rasé depuis cinq bons jours, et mes cheveux auraient bien besoin d’être rafraîchis. Mais peu importe. De toute manière, j’avais trop la flemme de le faire. Je déverrouille la porte, et la laisse entrer toute seule en partant vers la cuisine. Je sors un carton de jus d’oranges, et je bois à même le goulot. « T’as quoi à manger ? » ; « Rien. Ma mère a fait les courses y a plus de deux semaines, et mis à part du jus et du café, j’ai quedal. Donc, jus ou café ? » ; elle me regarde d’un drôle d’air, et attrape le carton de mes mains. « Et tu te nourris que de ça depuis quand ? » ; je hausse les épaules, je sais plus trop, mais de toute façon, j’ai pas faim. Je bois parce qu’il faut bien, la bouffe, c’est vraiment quand je tombe dessus. « Je crois que j’ai mangé une pizza avant-hier. Et y avait deux-trois trucs à bouffer au boulot, hier. » ; elle soupire, et ouvre tous mes placards, mais je sais qu’elle trouvera rien. Mis à part les trucs que Charlotte aime, et que j’aime pas. J’ai pas pu y toucher. Comme si j’avais l’espoir qu’elle allait revenir. « Putain, t’as des trucs périmés depuis des mois là-dedans ! Ca te dit pas d’les jeter ? » ; « Tu touches pas à ça Meghan ! Laisse-les là où c’est ! » ; elle se tourne vers moi suite à ma vive réaction, et je tente de faire comme si de rien n’était, mais elle est pas dupe. Elle soupire. « Je sais que tu veux qu’elle revienne, Mikhaïl, mais elle vient de s’acheter un nouveau loft… et elle ne compte pas venir chercher ses affaires. » ; je soupire et passe ma main dans mes cheveux. Je sors de la cuisine pour aller dans le salon, mais tout me rappelle Charlotte. Le sofa où on s’endormait parfois le soir parce qu’on avait la flemme de bouger, la salle de bains où je la rejoignais le matin pendant qu’elle se maquillait, notre chambre… emplie de souvenirs. Tout me rappelait mon ex fiancée, et je n’arrivais pas à faire une croix dessus. « Pourquoi est-ce qu’elle refuse de m’écouter ? » ; demandais-je finalement, me rendant compte que je n’arriverais pas à me débarrasser de mes sentiments pour elle, de l’espoir de la voir revenir dans un futur proche. « C’était tendancieux… trop tendancieux pour elle pour croire à une coïncidence. » ; « Mais je ne l’ai pas trompée ! » ; hurlais-je, choqué moi-même de l’accès de colère et de tristesse que je ressentais à la simple évocation de ce qu’il s’était passé. Et dire que personne ne me croyait… « Je te crois… le problème, c’est qu’elle, elle n’y croit pas. Mais elle ne t’a pas oublié. Alors, il faut que tu te reprennes en main et que tu ailles de l’avant ! Soit pour la récupérer, soit pour passer à autre chose. » ; elle ne m’avait pas oublié ? L’espoir naquit à nouveau en moi. Peut-être que je pourrais la récupérer, un jour ou l’autre…

« Non, j’ai pas fait ça ! Dis-moi que j’ai pas fait ça ! » ; elle me regarde, visiblement choquée, et je ne peux que lui confirmer d’un regard ses craintes. On vient de coucher ensemble, et même si la retrouver m’avait fait un bien fou, je regrettais aussi. Je voulais m’expliquer avec elle putain, pas la sauter ! Qu’est-ce qui m’a pris de faire ça, de l’embrasser, de la ramener dans NOTRE appartement et de la mettre dans mon lit. « Putain de merde ! » ; elle panique, et je la vois se rhabiller en quatrième vitesse. Sauf que je peux pas manquer l’occasion, cette fois que je l’ai sous la main. Je me lève, enfile rapidement mon boxer, et me poste face à elle, la forçant à me regarder. Elle semble paniquée, sous le choc. « Écoute-moi Charlotte, s’il te plaît… » ; elle me regarde, et semble peser le pour et le contre. Ca me rappelle la première fois où je l’ai vue, où je lui ai demandé son prénom, sauf qu’aujourd’hui, c’était bien plus dramatique. « Non. » ; mon cœur reçoit un coup de poignard une énième fois tandis qu’elle s’écarte de moi et qu’elle fouille son sac. « Non, parce que tu vas encore m’inventer la même chose ! Et que j’ai vu ce que j’ai vu, et que ça fait dix putains de mois que j’essaie de passer à autre chose, mais que j’y arrive pas ! Et tout c’que t’as trouvé à faire aujourd’hui, c’est… c’est coucher avec moi ! T’as pas le droit de faire ça ! T’as pas le droit de foutre autant de bordel dans ma tête et dans mon cœur ! Tu m’as trompée bordel, assume et avoue-le moi au moins ! » ; « Mais je ne t’ai pas trompée Charlotte ! Cette fille m’a sauté dessus, j’étais en train de la repousser ! Je t’aime, je n’aime que toi bordel ! Je te jure que c’est la vérité, je ferais tout pour te le prouver, mais je sais pas comme faire ! » ; elle me tourne le dos, et sort enfin ce qu’elle cherchait dans son sac. Non, elle va pas faire ça ? Elle ne peut pas faire ça ! « Non, Charlotte… s’il te plaît. » ; elle se tourne vers moi, et elle a les larmes aux yeux. Moi, j’ai pas pu les retenir. Ca doit être la première fois qu’elle me voit dans cet était, mais c’était trop… pas la bague. Pas nos fiançailles. « Ca fait dix mois que je la garde, mais je ne peux plus. Ca fait trop mal Mikhaïl, c’est trop douloureux… alors, c’est terminé. Pour de bon. Et je te rends ta bague. » ; elle pose l’écrin de chez Tiffany’s sur la table de la cuisine, et essuie une larme qui coule de son œil. J’reste sans voix. Alors, c’est comme ça que ça se termine ? « Mais, Charlotte… je t’aime, je t’ai pas trompée ! » ; elle pince les lèvres et ferme les yeux, avant de tourner les talons et de quitter notre appartement. Enfin… mon appartement.

scénario fini. pour plus d'informations, voir ici. (:


Dernière édition par Charlotte J. Hattaway le Lun 27 Déc - 16:16, édité 4 fois
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Mikhaïl J. Weaver

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MessageSujet: Re: (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had   (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had EmptyLun 27 Déc - 15:01

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MessageSujet: Re: (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had   (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had EmptyLun 27 Déc - 15:04

    HAN JE T'AIME, JE T'AIME, JE T'AIME! own
    Je poste la partie suivante, il est bientôt fini... mais si tu veux plus d'informations, il y a ma fiche, et ma boîte à MP qui est GRAAAAAANDE ouverte! câlin

    yiha yiha yiha yiha yiha
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MessageSujet: Re: (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had   (M) J. DUHAMEL ♣ the best thing i've ever had Empty

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