Un beau jour dans une prairie fort fort lointaine vivait … hum non ont vas reprendre. Il était une fois dans un pays fort fort lointain … non ça fait beaucoup trop conte de fées ! A quoi bon commencer par un commencement ? Pourquoi dans chaque conte ou histoire entendons-nous une phrase de début annonçant X ou Y vivant à saint glinglin ? Ne pourrions-nous pas commencer par autre chose ? Vous savez ce qu’ont dits ? Beaucoup trop de jeune fille et pas beaucoup d conte, de nos jour chaque jeune fille qui se respecte veulent devenir une princesse comme cendrillon ou blanche neige et bizarrement personne rêve de devenir la sorcière qui empoisonne blanche neige ou encore anastasie et javotte les demi-sœurs de Cendrillon. Bon je dois avouer que cela tourne au ridicule , un conte de fée une maison de paille , trois petits cochons et une sorcière empoisonnant la bête se baladant dans les bois ou il rencontre le petit poucet son amie la belle au bois dormant … on en a assez et d’après moi le moment est venu de passer à l’histoire la plus intéressante étant la mienne et rien que la mienne ! Quoi que j’ai bien envie de parler de ce moment ridicule ou les enfants entrent dans un tripe face à Mickey et Minnie quant il vont à Disneyland, ils sont tellement heureux de voir leurs héros face à eux et en vrai alors qu’à la base c’est qu’un dessin animé et que la voix de Mickey est tellement aigu que lorsqu’on le voit en vrai il se contente de nous faire un signe de la main et bien sûr personne ne se dit que c’est pas normale, les enfants rigole et pleure parce qu’ils n’ont pas eu d’orthographe de Mickey et pendant ce temps les parents se contente de dire : «Oh regarde c’est Mickey ! » au lieu de dire : « Oh regarde c’est un monsieur dans Mickey, c’est pour ça que Mickey est très grand et très imposant … » Après moi je dis ça je dis rien, mais pourquoi mentir aux enfants ? Moi quand j’étais petite j’avais tout juste deux ans et mon père ma regardé droit dans les yeux en me disant « Le père noël n’existe pas, ni Mickey ni la fée clochette ! » Bon cesse de bavardage, je pense vous avoir assez parlée de cette petite anecdote sans importance qui n’est pas la plus débile de ma vie. Il était donc une fois … ah oui on avait dit qu’on allait ne pas commencer. Je m’appelle Katnyss Gaïa Sway … « Bonjour Katnyss … ! » et je ne suis pas l’héroïne d’un conte de fées. Dommage.

«Et si pour une fois dans ta vie tu arrêtais de m’acheter comme un vulgaire saucisson au rayon frais du supermarché ça serai bien tu ne pense pas ? »«Voyons ma chérie, je ne t’achète pas comme une vulgaire bouteille en plastique de jus de pruneaux, tu es ma fille et je t’aime et je veux juste que tu soie heureuse et c’est pour cela que tu dois accepter le fait que tu sois née dans une famille qui a de l’argent … » «Il n’y a pas que l’argent qui compte papa et de toute façon plus tard je ne serai pas comme vous , comme une coincée avec un collier de perle et un sourire forcé , je serai la copine d’un rockeur et je vivrai dans une caravane ! » «Tu es très drôle ma fille, oh oui vraiment en attendant va raconter tes bêtises à ta poupée Barbie » «Papa j’ai quatorze ans pas quatre ans ! » «Que ça grandit vite les enfants … » «Papa … je prend ta carte de crédit j’ai des fringues à acheter » «Et après tu n’as pas besoin de mon argent … » murmurait mon fameux père.

Pour moi la vie représente deux chose la naissance et la mort. On vie pour ensuite mourir c’est complètement illogique, mais tel est la vie et personne pourra changer la trame de la vie. J’ai vu la vie il y a vingt-quatre ans dans une famille plutôt aisé, l’argent a toujours compter dans ma fabuleuse famille, j’ai une mère maniaque et accroc à l’odeur que dégage son parfum, un père qui pense à l’argent à un tel point qu’il imagine que les billet verts volent autour de lui durant son sommeille. Mon père à longuement travaillé étant jeune pour au final avoir de l’argent et peu d’ami, certaine personne pensent que l’argent est clef de bonheur et qu’il nous apportera tout ce dont nous avons besoin dans une vie, mais c’est faux l’argent nous apporte tout ce qui coûte de l’argent rien de plus. J’ai grandis à Portland et j’y ai vécu toute ma vie, ça deviendrai presque monotone comme histoire vous ne trouvez pas ? Au bord de ma fenêtre je rêvais d’évasion telle une fourmi s’échappant de son trou, vous savez une petite fourmi rebelle qui ne voudrait pas suivre toute les traditions des petites fourmis comme elle. Mon appareil photo en main je prenais des photos de tout et de rien, la photographie a toujours donné un sens à ma vie, vous savez c’est comme immortalisé un moment, comme le capturer et lui redonner vie une fois la photo mise sur papier.

« Est-ce que je peux savoir ou tu étais passée ?!» «J’étais juste avec Mélodie et Paul on a but quelques bières et on n’a pas vu le temps passés ! » «Tu as quinze and je te rappelle , quand j’avais quinze ans mes parents ne me laissait pas faire ce que je te laisse faire en ce moment, je pleurait car mes amis faisaient la fête comme des sauvages et faisais d’incroyable scène à mon père pour qu’il me laisse sortir et il me disait non … quand j’y pense il a bien fait de me dire non car quand je te vois je me dis que j’aurai pu être comme toi ma fille ! » «Maman .. je n’ai rien fait de mal, je me suis juste amusée comme tout les jeunes de mon âge !» « Les jeunes de ton âge ne boivent pas d’alcool !» «Arrête de faire celle qui se préoccupe de sa fille, ce qui tinquiète c'est l'image que je donne à la famille et Je ne suis pas comme eux, je fait beaucoup plus que mon âge et de toute façon je vais m’en aller d’ici dès que j’aurai 18 ans ! » criai-je face à ma mère.

L’apparence, voilà ce qui compte le plus dans ma putain de famille, mon père se contente de sourire à chaque fois et de dire des paroles que même à côté un prêtre dirait de la merde et ma mère elle se donne un mal fou à étouffer toute mes paroles et raconte toujours à ses vieilles amies que je suis un ange et qu’une fille comme moi il n’y en a pas deux. Ça tu l’a dit maman ! J’ai jamais trop prêter attention à tout ce qui brille, pour ma famille l’argent est sacré, pour moi la vie est sacré. Papa me verse toujours de l’argent sur mon compte je ne suis peut être pas attirée par l’argent, mais je ne lui dit pas non , l’argent ça sert toujours croyez moi surtout lorsqu’on est une fille comme moi !

«Tu es Barbie et lui c’est Ken c’est obligé ! » «De quoi tu parles ? » «De Timéo, il est grand, sexy et magnifique et il te regarde depuis le début du court ! » D’un regard curieux je regardai dans la direction de ce jeune homme que m’avais suggéré mon amie Mélodie et d’un seul coup la musique ce mise en marche et le vent souffla dans mes cheveux, les projecteurs était projeté sur moi, je brillais et tout le monde me regardais. Une fois revenu à la raison par la voix du prof : «Mademoiselle Sway s’il vous plait … » «Oh oui il me plait … euh pardon, j’étais ailleurs … » En l’espace d’une seconde je m’étais projetée dans un passé probable au bras de Timéo qui allait jouer le rôle de Ken et moi celui de Barbie.

Ah l’amour quand ça nous prends, ça nous surprends et me voilà qui fais des rimes à présent, si vous voulez savoir Timéo fut ma première relation sérieuse, je l’ai aimé et il m’a aimé, ce fut mon premier baisé à l’âge de seize ans, bah quoi les garçons n’ont jamais été une priorité pour moi ! J’ai d’ailleurs même couché avec lui et ce fut orgasmique !

«Hey Barbie … ! » «Oui Ken ? » «Je t’aime … que dirais tu si je te proposai de s’en aller toi et moi comme tu le rêve nous pourrions vivre dans une caravane avec des vaches, enfin non les vaches ne vivrons pas avec nous dans la caravane, mais à côté , autour de nous … » C’étais une offre alléchante je devais l’avouer, mais je ne me voyais pas vraiment entouré de vache, mais plutôt de moutons comme ça chaque matin en les voyant je pourrai pensé aux cheveux de ma chère mère. «J’en rêverai, vraiment, mais oublie les vaches ça sera des moutons !» «Peu importe le plus important c’est d’être avec toi ! » J’étais sûrement tombée sur la tête étant petite, j’allais quitter ma fabuleuse maison pour une caravane sans eau courante, j’étais amoureuse et je détestais mes parents et juste en imaginant leurs têtes en entendant que j’allais passer ma vie dans une caravane me faisais tordre de rire.

J’étais assez stupide pour penser que ça allait durée, les trois premières année fut fabuleuse puis arriva mes vingt-ans, l’argent entrait tout les mois sur mon compte, l’argent de mon père, je ne les avaient pas vu depuis un moment et Timéo non plus d’ailleurs, cela faisais quelques mois qu’il était partie avec cette brune me laissant seule ici avec comme seul compagnon mon appareil photo. Après avoir fait bagage je fis mon grand retour chez mes parents et c’est là que j’entendis de leurs part : «Tu vois , ta mère et moi avaient raison, vivre dans une caravane c’est pour les pauvres tu seras bien mieux ici parmi nous crois moi. »

Après mon adolescence j'entrai dans la vie adulte et croyez le ou non rien ne changea, j'étais toujours aussi peu passionnée par l'argent et par le comportement de mes parents, la photo était devenu mon métier et mon cœur était laissé comme brisé pendant un long moment. Chaque moment, chaque gestes qui me paraissait intéressant se retrouvais dans mon appareil photo. La photographie me faisait vivre, sourire et surtout m’exprimer, la photographie était la clef de mon bonheur actuel.

«Je suis tellement beau que tu te sens obligé de me prendre en photo ? » Mon appareille photo en main, je regardai ce jeune homme, brun, yeux bleu il était très charmant au premier coup d’œil. Je fis alors un grand sourire en regardant dans sa direction. «Comment as-tu su, moi qui pensait passer inaperçu en prenant le plus bel homme de la soirée en photo ! » tel était les premières paroles qu’on c’étaient adressés et personne aurait put imaginer un seul instant que un an plus tard nous serions encore ensemble plus heureux que jamais. «En réalité tu es folle de moi et tu ne veux pas te l’avouer alors tu te cache derrière ton appareil photo par peur que le beau jeune homme que je suis te remballe, c’est tout à fait compréhensible vu ma belle gueule elle intimide toujours les demoiselles ! » «Je ne suis pas toute les demoiselles, mais pour ce soir je vais faire une exception, tes plutôt pas mal je dois l’avouer, mais je suis aussi très belle ! » Durant cette soirée j’étais charger de la photographie pour ne pas changer, prendre des photos de tout les invités de la soirée sans pour autant les prévenir tel était le but, un peu comme un paparazzi sauf que toutes les photos allaient se retrouver dans un album et il ne fera pas la une de tout les magasines people. J’ignorai jusque là le prénom de jeune homme, mais je savais une chose c’est que j’allais le revoir et très vite.


Il m’avait tapé comme un bus scolaire jaune en plein dans le cœur, il était grand, sexy et surtout ça façon d’être me faisais craquer, j’ai toujours dis que j’avais un faible pour ce genre de garçon qui se fou de tout et qui se préoccupe d’une chose en priorité, lui ! Enfin bon tel une hirondelle sautant de joie pour retrouver son ami l’oiseau il avait réussi à faire battre mon cœur à un point que même à côté Shrek et Fiona ce n’est rien !

«Pourquoi t’acharne tu sûr nous comme cela ma fille, tu ne pourrais pas pour une fois nous écouter et épouser Alexander le fils de mon associé, c’est une bonne famille et il te conviendrait plus que ce jeune homme qui n’a pas la langue dans sa bouche et qui se prend pour le centre du monde … » «Papa, je suis grande, je fais se que je veux et je sort avec qui je veux et devine quoi … on c’est fiancés ! » Le bonheur m‘avait envahis, je me sentais bien et j’étais heureuse c’est tout ce qui comptais non ? Bah pour mon père ce n’étais pas le cas il n’appréciait pas spécialement Jonas et pour ne pas changer nous étions dans un grand désaccord à nouveau. Vivant au côté de Jonas à présent j’ai entendu parler de programme pour changer de maison et j’ai sauté sur l’occasion, changer d’air ne me ferai pas de mal, donc bagage fait direction l’écosse dans une nouvelle maison avec l’homme que j’aime que demander de plus ? J’aime l’écosse et il y a cette fille qui s’occupe de nous pour trouver une maison, elle est vraiment sympa, enfin c’est son métier me direz vous, mais je voie à travers elle autre chose et ce n’est as spécialement quelque chose de bon. Je me trompe peut-être, mais je reste éveillé en sa présence, on ne sais jamais

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