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" Bonjour mademoiselle, puis-je vous aider ? " avais-je dis innocemment. Il faut dire que j'étais payée pour aider les gens à déménager, trouver une maison dans laquelle ils pourraient s'épanouir. " Eh bien, je chercher une conseillère, mon fiancé et moi aimerions beaucoup participer à votre programme. " Je lui souris. Tiens, une cliente de plus. Je lui fit signe de la tête, et elle comprit. " Mon fiancé nous rejoindra un peu plus tard, il a du travail ". Ou alors il n'a pas envie de s'embêter à venir voir une conseillère et préfère rester dans son canapé. J'avais l'habitude de ces excuses bidons provenant des femmes. Mais je n'en dis rien et nous installâmes à mon bureau. Je commandais deux café à la petite secrétaire toute nouvelle venue et commençais donc mon spitch sur les bien fais de ce programme, tout le blabla que nous avions obligation de vanter. Quelques minutes plus tard, on frappa à mon bureau. Ma cliente se retourna, je criai à l'encontre de l'inconnu de rentré. La poignée se baissa, la porte s'ouvrit sur un homme, grand et fort au yeux bleus et au cheveux bruns. Mon coeur fit un bon. Il n'avait pas changé, il était toujours aussi beau. J'eus limite les larmes au yeux mais je me retins. Je vis en lui une espèce de sursaut de stupeur, puis, il fronça les sourcils et fit comme si de rien était. Pour moi, ce fût nettement plus difficile. Je bégayait, mes mots s'emmêlaient les pinceaux, j'étais sous le choc.

Voilà, c'est donc avec ça qu'il se console de mon départ ? Cette poupée blonde avec un grain dans la cervelle ? Je suis méchante, je m'en rends compte, d'autant plus que cette fille est plutôt gentille. Nous avons bien discuté toutes les deux avec qu'il n'arrive. Alors j'encaisse, je fais amie amie avec elle, le temps de pouvoir récupérer mon amour perdu. Mesquine ? Non, folle amoureuse..